Les Pétroleuses

Les Pétroleuses adorent aller à la plage, été comme hiver, c’est pour elles, un lieu d’apaisement, de contemplation…Parcourir des kilomètres sur le sable pour s’isoler, pour être en harmonie avec la nature, la mer…loin de tout face à l’immensité. Mais voilà aux beaux jours, étendues sur le sable chaud, les Pétroleuses ne sont jamais tranquilles car rôdent autour d’elles des Prédateurs. Il y a ceux qui restent à distance, cachés dans les dunes, armés parfois de jumelles ; ceux qui l’air de rien, serviette sur l’épaule, arpentent de long en large la plage jusqu’à trouver une proie potentielle ; ceux, qui tentent leur chance et s’invitent sur votre serviette, et enfin, ceux qui s’adonnent aux joies de la masturbation (grand bien leur fasse !!!). Que dire sur cette espèce humaine dépravée ? Faut-il en rire ? S’apitoyer ? Qui sont ces mâles pour tomber si bas, dans un voyeurisme affligeant ? Bien sûr, Y’EN A MARRE DE LES VOIR, de SENTIR LEURS REGARDS ...

Honte à vous Messieurs les Sages du Conseil Constitutionnel. Désormais le harcèlement sexuel n’est plus puni par la loi. Motif : l’article de loi condamnant cet état de fait a été jugé trop flou par ces hauts personnages du Royaume. Plus dramatique encore, c’est sur l’initiative de l’ancien ministre et ancien député du Rhône, Georges Ducray, condamné en 2011 en appel à trois mois de prison avec sursis pour …harcèlement sexuel !!! Ne s’avouant pas vaincu, ce dernier s’est pourvu en cassation et en parallèle, a demandé l’abrogation de la loi…et a été entendu. Bravo. Dans les hautes sphères du pouvoir, on le sait, le droit de cuissage est encore bien répandu et jugé normal. Eh oui, le pouvoir, l’argent donnent des ailes à ces Sires, que dis-je, des élans incontrôlables…Et nous, pauvres femmes, pourquoi ne sommes-nous pas ravies de toutes ces délicates attentions ? D’après la presse et les dires de Jean-François Cassant, secrétaire général de l’Union syndicale des collaborat...

Pour les quelques jours passés à Nouméa, nous avions opté pour un appart/hôtel, solution moins onéreuse que d’aller à l’hôtel et surtout, nous permettant d’être à proximité des lieux incontournables de Nouméa. Pour info, les hôtels sont chers et peu nombreux sur l’île en général. Reste bien sûr les gîtes (à Nouméa, sont majoritairement excentrés), mais pas toujours « top(s) » ! Pour les routards fauchés après ce si long voyage, nous vous conseillons l’auberge de jeunesse. Nous avons atterri à La Tontouta vers 22 heures. Ce n’est donc que le lendemain au petit matin que nous avons réalisé où nous étions en regardant par la fenêtre avec une vue imprenable sur l’Anse Vata. Il y a pire, comme vous pouvez le voir avec les photos ci-dessous. Que dire de Nouméa à proprement parler ? Rien de particulier à vrai dire si ce n’est ses multiples anses et promenades le long de la mer. La ville en elle-même n’offre pas de vraies curiosités, excepté sa fameuse place des Coco...