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Affichage des articles du juillet, 2011

La République dominicaine en 2005...Les Pétroleuses en vadrouille

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C’est pour une semaine de farniente que nous avons choisi la République dominicaine après avoir crapahuté, sans relâche, en Guadeloupe, pendant une huitaine de jours. Pour d’autres raisons, nous avions aussi besoin de ce laps de temps « farniente » pour reposer nos esprits. Il était évident qu’avant d’aller installer nos serviettes de plage, nous ferions un détour par la capitale, Santo Domingo, pour nous imprégner de son passé colonial à travers les vestiges hérités de l’époque moderne. Pour tout dire, nous avons été déçues par Santo Domingo : une ville sale, bruyante, et un quartier colonial bien pauvre comparativement à La Habane , que nous vous ferons découvrir ultérieurement. Et surtout impossible de se promener dans l’artère principale commerçante sans être sans arrêt, apostrophées avec un sempiternel : « tienes dinero ? ». Santo Domingo ne mérite pas vraiment le détour. La République dominicaine, c’est aussi une drôle de façon de conduire. Il ...

La coprophobie...Coup de coeur des Pétroleuses

Pour ceux qui connaissent le journal Courrier International et sa rubrique « Insolites », rien ne peut les surprendre. Pour les autres…Voici que ce que nous avons pu lire dans le n°1079 du 7 au 12 juillet 2011 : « La coprophobie [Crainte exagérée des excréments]. Les crottes de chien dans les parties communes, ça suffit. A compter du 1 er août, les habitants d’une résidence de Floride devront payer 200$ pour faire enregistrer le profil génétique de leur quadrupède sur un fichier ADN. Les déjections canines jonchant couloirs et pelouses seront envoyées pour analyse à la DNA World Pet Registry, qui identifiera les coupables. Les maîtres indélicats encourent 1 000$ d’amende, leur logement pourra être hypothéqué et les chiens récidivistes pourront être saisis. Selon le président de l’association Village of Abacoa, Matthew Brickman, les frais de nettoyage coûtent des milliers de dollars à la copropriété, rapporte la chaîne ABC25. » Nous, nous avons beaucoup ...

Les Ânes de Vassivière...Coup de coeur des Pétroleuses

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Notre ânesse Bretzel Notre yourte vue de l'extérieur Notre yourte : l'intérieur Notre yourte : l'intérieur Un peu d’insolite, du dépaysement…Direction Peyrat-le-Château (Haute-Vienne), plus précisément à Champseau et les Anes de Vassivière. Rien de tel qu’une yourte installée au milieu du pré dans un cadre magnifique loin de l’agitation urbaine…Vous êtes arrivés chez Christophe et Olivier dans leur ferme…Laissez-vous porter par l’atmosphère apaisante des lieux. Pas de bruit, la nuit un ciel étoilé magnifique (si la météo est clémente), une fraîcheur matinale qui n’est pas sans rappeler nos vacances à la campagne lorsque nous étions jeunes…Et si le cœur vous en dit, n’hésitez pas à faire une balade en compagnie d’un âne…Olivier vous en parlera avec passion…

La Guadeloupe en 2005 et 2009...Les Pétroleuses en vadrouille

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La Guadeloupe , petite île en forme de papillon, occupe une place toute particulière dans mon cœur, dans notre cœur. D’une part, j’y ai vécu enfant ; d’autre part, elle fut notre première destination commune. Alors, il nous est peut-être difficile d’en parler en toute objectivité. Nous, nous aimons  la Guadeloupe …pour son ambiance colorée, ses parfums, sa végétation luxuriante, ses fonds marins, son côté sauvage et montagneux du côté de Basse-Terre, sans oublier sa cuisine épicée… que nous adorons ! J’oserais à peine vous confier notre petite faiblesse pour ce délicieux breuvage clair ou coloré qui fleure si bon sur nos papilles… ! Oh bien sûr, il y a aussi les plages…et la musique. Mais pour nous,  la Guadeloupe , c’est un tout. On s’y sent bien. On s’y sent chez nous. Dans nos délires les plus fous, on s’imagine bien y passer 6 mois sur 12 quand nous serons à la retraite !!! Mais le moment n’est pas encore venu. Nous n’aimons pas trop les lieux touristiq...

Voyager...Les Pétroleuses en vadrouille

Pourquoi les Pétroleuses ? Juste un petit clin d’œil à Bernard…Nous n’en dirons pas plus, il se reconnaîtra… Ce surnom, il nous l’a donné en 2006 à notre retour des Etats-Unis…Depuis, c’est devenu comme un signe de reconnaissance…Et puis, les Pétroleuses aiment voyager alors…Quoi de plus naturel donc, d'appeler  ainsi notre blog ! Depuis leur rencontre, les Pétroleuses sont allées : *en Guadeloupe (2005, 2009) ; * en République dominicaine (2005) ; *aux Etats-Unis (Californie, Arizona, Utah, Nevada, 2006) ; *en Martinique (2006) ; *au Canada (Toronto, Niagara, Ottawa, Montréal, Québec, Gaspésie, 2007) ; *à Cuba (2008) ; *aux Etats-Unis (Boston, New York, Philadelphie, Baltimore, Washington, 2010) ; *à Marie-Galante (2010) ; *en Nouvelle-Calédonie (2011)…et ce n’est pas fini… Non nous ne sommes pas milliardaires, loin s’en faut. Nous vivons simplement, nous savons apprécier les petits bonheurs de la vie de tous les jours comme… regarder...

La communication, un mot très à la mode...Ce qu'en pensent les Pétroleuses

La communication, un mot très à la mode...La multiplication des moyens de communication permet, si je m'en tiens à ce que je peux lire dans les médias mais aussi en écoutant les propos des uns et des autres, une meilleure communication. Mais à vrai dire, je me demande ce que recouvre comme réalité ce vocable. La définition du dictionnaire indique qu'elle est l'action d'établir une relation avec autrui, de transmettre quelque chose...Et je crois bien qu'on a perdu de vue ce sens-là... Combien de fois ai-je entendu autour de moi, "c'est important de communiquer", et pourtant avec du recul, je me demande si l'on communique vraiment tant notre société est faite de non-dits, de sujets tabous...où il est aussi préférable d'éviter les sujets fâcheux. Alors on parle de la pluie et du beau temps, des enfants, du dernier livre lu, on raconte les vacances...Mais on n'aborde pas ce qui peut déranger car les vérités, quelles qu'elles soient, ne font...

Choisir est-ce renoncer à sa liberté ?...Ce qu'en pensent les Pétroleuses

Choisir est-ce renoncer à sa liberté ? L'homme par nature est amené à faire des choix. Mais nul ne peut savoir, a priori , si ce choix est bon ou non. Toujours est-il qu'à partir du moment où s'offre à nous un choix, cela sous-entend indéniablement un soupçon de liberté. Car sans liberté, l'homme ne peut choisir. Evidemment tout dépend de ce que l'on entend par liberté. Si nous considérons un régime de démocratie, nous pouvons croire qu'effectivement, la liberté est de mise ; a contrario dans des régimes qualifiés de dictatoriaux où la terreur règne, où la liberté d'expression est bafouée, il est improbable que cette notion de liberté puisse réellement exister. Cependant, tout n'est pas aussi simple dans la réalité. En effet, l'acte de choisir n'est pas à la portée de tous. Faut-il encore en avoir la possibilité ? Car sans discernement, l'homme ne peut choisir. Sans intelligence, l'homme se transforme en un mouton de Panurge, imite, cop...